Team:Lyon-INSA-ENS/Safety/IntroFr
From 2011.igem.org
Line 42: | Line 42: | ||
Dans ce contexte, nous avons considéré la sécurité des chercheurs et, comme nous sommes conscient que ce projet combine deux technologies qui effraient une grande partie de la population (OGM et centrales nucléaires), nous avons eu une attention toute particulière à définir les risques pour le public et l'environnement. | Dans ce contexte, nous avons considéré la sécurité des chercheurs et, comme nous sommes conscient que ce projet combine deux technologies qui effraient une grande partie de la population (OGM et centrales nucléaires), nous avons eu une attention toute particulière à définir les risques pour le public et l'environnement. | ||
<br><br> | <br><br> | ||
- | <B> Afin de discuter de ces risques nous avons organisé un débat : <a href="https://2011.igem.org/Team:Lyon-INSA-ENS/Communication/ConferencesFr"> | + | <B style="line-height : 1.5em";> Afin de discuter de ces risques nous avons organisé un débat : <a href="https://2011.igem.org/Team:Lyon-INSA-ENS/Communication/ConferencesFr"> |
“ Technologie Nucléaire et Bactéries Génétiquement Modifiées, l'Homme peut-il garder le contrôle? ”</a>.</B> | “ Technologie Nucléaire et Bactéries Génétiquement Modifiées, l'Homme peut-il garder le contrôle? ”</a>.</B> | ||
</p> | </p> |
Revision as of 08:18, 28 July 2011
Introduction
Nous allons présenter ici notre réflexion concernant les problèmes de sécurité relatives à notre projet "Cobalt Buster". Ce-dernier est basé sur une souche d'Esherichia coli capable de capturer et de concentrer le cobalt se trouvant dans son environnement.
Le cobalt radioactif est rejeté dans les canalisations d'eau des centrales nucléaires, c'est pourquoi notre but est d'utiliser cette souche comme un bio-filtre dans le traitement des eaux usées de ces centrales. Ces bio-filtres permettraient d'augmenter l'efficacité et de réduire le volume de déchets nucléaires ainsi que les les coûts de traitement.
Dans ce contexte, nous avons considéré la sécurité des chercheurs et, comme nous sommes conscient que ce projet combine deux technologies qui effraient une grande partie de la population (OGM et centrales nucléaires), nous avons eu une attention toute particulière à définir les risques pour le public et l'environnement.
Afin de discuter de ces risques nous avons organisé un débat :
“ Technologie Nucléaire et Bactéries Génétiquement Modifiées, l'Homme peut-il garder le contrôle? ”.